Voilà le mois de mars est terminé et son premier trimestre avec,
l’occasion de faire un petit bilan de ma situation perso et sportive.
Cette année 2010 s’annonçait comme « l’année »
de tous les changements sur le plan perso
et celle qui sera la plus importante dans ma déjà longue vie.
Et bien, Put…. Un seul trimestre de passé, l’année va être très longue voir interminable.
Sportivement :
super premier trimestre, un record sur 15km et sur Semi acquis sans d’énorme difficulté. Vraiment très surpris de ces 2 chronos même si certains amis, comme HV, Jag, Ludo et d’autres n’avaient pas de doute sur des performances possibles.
Toujours pas d’objectif précis, l’envie de faire un marathon en moins de trois heures trente, juste pour se faire plaisir, valider les acquis de mes entrainements et continuer d’approcher les perfs de mes potes de course (n’est ce pas Ludo ;-)).
Autre point très positif, aucun blessure, ni douleur excessive. Comme quoi, j’écoute beaucoup mon corps dans ses possibilités et ses limites et que je me laisse du temps pour récupérer.
J’arrive aux 700 km en 2010, ce WE,
bien plus que les 2000 km annuels envisagés l’année dernière
mais il reste encore de nombreux mois…
Ces derniers jours a été l’occasion de pousser un peu le nombre de kil, ça passe toujours bien.
Personnellement :
AIE AIE AIE, je les cherché, j’ai joué, j’ai perdu.
Séparation en début d’année, pour un besoin de faire le point dans ma vie et
après 18 ans de vie commune.
J’ai démangé mi février ou j'ai commencé à trouver mes repères.
Je vivais exactement ce à quoi je m’attendais
car ma vie « en couple » n’était plus possible dans les conditions ou je l’a vivais.
J’étais très égoïste et je savais que j’avais fait d’énormes dégâts dans ma vie familiale.
J’en étais et suis malade mais mon envie de enfin vivre à 47 ans était trop forte.
Malheureusement, je ne trouve déjà plus aucun bonheur dans cette situation, de plus j’ai fait vraiment beaucoup de mal aux personnes qui me sont proches.
Enfin, il faut maintenant assumer et la course est pour moi, l’échappatoire qui permet de rester …… les pieds par terre. La douce douleur physique ne retire en rien les douleurs morales.
Maintenant mon ex et mes enfants devraient quitter rapidement la région. Tout le monde a méchamment trinqué, je m’en excuse un millions de fois. J’attend l’été pour savoir si je ne vais pas partir non plus, je ne me sens plus d’attache ici mais que de la souffrance.